ACTE D’ACHAT DU 2 NOVEMBRE 1730

Acte d’achat du 2 novembre 1730, pour 6,000 livres par François de La Moussaye, dit l’indien de la Maison de la Houblonnière, Hôtel de La Moussaye.

Acte d’achat du 2 novembre 1730, pour 6,000 livres par François de La Moussaye, dit l’indien de la Maison de la Houblonnière, Hôtel de La Moussaye. Près des Capucins et Petite Ursulines, rue Reverdiais (58, rue d’Antrain).. Archives d’Ille et Vilaine: Saint-Melaine Actes notariés Min de Le Loué H 3, H 2 2, pages 667 et suivantes.

Cette maison, située sur l’ancien terroir de la Houblonnière [(rue Lesage)]. Appartenait aux Baulieu en 1552, aux Pallier au XVIIème siècle, et passa par alliance aux Bois de Carcé, qui la vendirent, en 1677 aux Le Faure du Champ-d’Aguet; ceux-ci la revendirent le 2 novembre 1730, pour 6,000 livres à [François de La Moussaye], né en 1669 (François dit «l’indien»), volontaire de la [Marine Royale], puis Colonel commandant, pour le roi de la partie sud de [l’ile de Saint-Domingue], où il fit fortune. François-Victor de La Moussaye dit « le Comte de La Moussaye » (1715-1778), (fils du précédent), chevalier, seigneur du Pontchamp, de Beaulieu, La Chesnaye-Taniot, La Noëtain, La Villéon et de La Sourdière. Officier de la marine royale il quitta jeune le service et fixa sa résidence à Rennes en son hôtel rue Reverdiais (d’Antrain) près [les Capucins] et [les petites Ursulines]. Il fut nommé commissaire de l’ordre de la noblesse pour les [Etats de Bretagne]. Il épousa le 3 mai 1740 Anne-Jeanne-Gabrielle Le Mintier, dame de La Sourdière (1718-1762), fille de Pierre-François Le Mintier, seigneur [des Granges] et de Radegonde-Thérèse de Boisgelin de La Sourdière.

Armoirie de la famille la Moussaye.
Honour, Honour à Moussaye

contrat de MARIAGE de François-Victor de La Moussaye, avec Anne-Jeanne-Gabrielle Le Mintier : Il épousa le 3 mai 1740 Anne-Jeanne-Gabrielle Le Mintier des Granges, dame de La Sourdière (1718-1762), fille de Pierre-François Le Mintier, seigneur [des Granges] et de Radegonde-Thérèse de Boisgelin de La Sourdière.

LETTRE D’INQUIÉTUDE DU 6 juin 1778 au soir : « Inquiétude » d’Augustin-René-Louis Le Mintier, futur et dernier Évêque de de Tréguier, sur l’état de santé de François-Victor de La Moussaye dit « le Comte de La Moussaye » (1715-1778), fils de La Moussaye, l’indien. TÉLÉCHARGER LE PDF DE LA LETTRE


Hotel de La Moussaye, dit l’Indien, proche des petites Ursulines et Capucins – Rue Reverdiais (58, rue d’Antrain)

l’Hôtel de la Moussaye fut l’un des lieux de rencontre des parlementaires aux Etats

: Messieurs de La Guerrande de la Villecoleu. Guy-André[Bernard de Courville, major de la capitainerie de Plancoët] et Louis-Guy Bernard de Courville (1746-1798), fils officier au bataillon de Rhedon, il signa en 1788 la protestation de la noblesse de Bretagne contre la convocation des États généraux, également Claude-Marie-Joseph Bernard de La Gatinais, dans une lettre du 17 juillet 1788, au Comte René Jean de Botherel, Procureur général syndic des États de Bretagne ; De la Grandville Cherdel, Maire & Député de [Moncontour de Bretagne]. Joseph-Etienne Daubert de LangronFrançois-Victor de La Moussaye (1715-1778) commissaire de l’ordre de la noblesse pour les Etats de Bretagne, en son hôtel, Reverdiais (58, rue d’Antrain) à Rennes. De la villecoleu de la Guérrande, père. Victor-François-Gervais de La Moussaye (1752-1819), en 1788 il fut l’un des 12 députés que la noblesse des Etats de Bretagne envoya à Versailles à la cour du roi Louis XVI, fils de François Victor et Anne Jeanne Gabrielle Le Mintier, [des Granges]. Philippe de Geslin, Gervais seigneur de Tremargat, président aux requêtes du Parlement de Rennes et Louis-Anne (1742-1795) Geslin, Comte de Trémargat. Capitaine de vaisseau, nommé «Jambe de bois», Président l’ordre de Ia Noblesse aux Etats de 1784, mort à Londres en 1795. [Maurice Gervais Geslin de Trémargat] (1740-1819), un des chefs de la résistance de la noblesse aux réclamations du thiers aux Etats de 1788. Le gouvernement fait arrêter et mettre à la Bastille le 14 juillet 1788, [douze gentilshommes venus protester devant le Roi du sort réservé à la Bretagne]. De récents édits royaux restreignent en effet le pouvoir des parlements. Les embastillés sont libérés le 25 août 1788 et rentrent en Bretagne. Maurice Gervais Geslin de Trémargat, faisait partie des [embastillés]. [protestation de l’Ordre de la noblesse du 10 janvier 1789, pour la suspension des Etats


Annuaire des adresses de logements des Parlementaires pendant les Etats de Bretagne. La liste donne les lieux et adresses des personnes présentes aux Etats de Bretagne.


Architecture ///Achat Hôtel de La Moussaye /// Affaires de Bretagne 1766 – 1771 /// Etats de Bretagne /// La Moussaye à Saint-Domingue /// Notes et Références


© 2022 – Les Matériaux et Services de ce site (iconographie, textes) sont protégés par les lois sur les droits d’auteur et/ou la propriété intellectuelle. Toute utilisation non autorisée des Matériaux et Services de ce site peut constituer une violation de ces droits